• Halloween est une fête folklorique traditionnelle à laquelle certains attribuent une lointaine origine celtique . Pendant la protohistoire celtique, existait une fête religieuse / Samain en Irlande, Samonios en Gaule –, qui se déroulait sous l’autorité des druides, pendant sept jours (le jour de Samain lui-même et trois jours avant et trois jours après). « C’est une fête de fermeture de l’année écoulée et d’ouverture de l’année à venir. Le temps de Samain est celui du Sid brièvement confondu avec celui de l'humanité. »



    La dernière courge de mon jardin à Chassiers

    C’est la période de possibles rencontres mythiques entre certains hommes et les dieux des Tuatha Dé Danann. La civilisation celtique (et la religion et les fêtes druidiques) a disparu d’Irlande au 5 ème siècle, avec l'évangélisation hagiographique de Saint Patrick. La fête chrétienne de la Toussaint, à laquelle est adossée Halloween, n’a été instituée qu’au 9 ème siècle par le  pape Grégoire 4. L’abondante littérature irlandaise médiévale, élaborée par les clercs entre le VIIIe et le XIIe, ne mentionne que la fête sacrée de Samain.

    Nous ne fêterons l'arrivée de l'hiver que Dimanche aprés midi, Sophie, "my Girl" a invité toute la famille pour un grand gouter,
    Franck, Carine, Patrick, Nadége, Louis, Camille, Pierre Michael, Amandine, Son compagnon Jean Marie, ses enfants, Bastien et Théo, Simone, l'épouse de son père, Robert et moi.

    Elle nous aura peut être fait une tarte sucrée à la courge.

    en pensant à mes curcubitacées, j'ai la nostalgie de mon potager qui me donnait de si beaux légumes


    Potimarron au délicieux gout de chataigne



    La ronde des courges



    Et même des melons et de concombres



    Ce fut mon dernier potager, plus jamais je n'aurais le plaisir de cultiver mes légumes.

    autres temps, autres moeurs.
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  •  Nouvelle peinture acrylique à la façon de la peinture à l'huile.



    Paysage de Toscane  sur toile 70 x 50.



    Le petit pont de bois - peinture acrylique façon aquarelle, sur papier torchon 40 x 30 fait en une aprés midi.

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  • Pas plus d'heure d'été que d'heure d'hiver pour la pendule de Monsieur Chang, elle est arrétée sur 5 heures moins 12.



    cette pendule style Westminster, avait été acheté en 1939 par le père de Robert à un chinois nommé Monsieur CHANG, comme dans TINTIN.

    Elle marche mais j'ai la flemme de la remonter, il faut pour cela que je monte sur un tabouret, que je prenne une grosse clé et que je la tourne avec la force d'Hercule. cela m'énerve, alors je la laisse comme cela, Robert a grogné un peu... maintenant il ne dit plus rien.
    je dois dire à ma décharge qu'elle sonne l'heure à +20 et la demi à -10.

     5 heure moins 10 moment d'éternité.....
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  • Il faisait assez beau et je voulais marcher, marcher......



    il est 11 heures, je m'enfonce dans le "chemin de l'homme au fleuve"



    une prairie de Rosa canina, qui sont devenus des "grattes cul" ou cynorhodon.



    Cette prairie va être nettoyée et replantée par les "brigades vertes". afin de recréer un biotope et réintroduire  une faune et une flore appropriées.



    voici quelques explications sur les travaux faits et à faire.



    outre des rosiers canina j'ai trouvé ceci.... j'ai un trou de mémoire je ne sais plus son nom. ???? aidez moi !!!



    Petite euphorbe.



    Petits asters sauvages qui poussent au milieu des brousailles.



    Ici la nature est reine, cet endroit n'est pas un parc, mais un lieu de promenade sur des chemins.
    La nature est exubérante afin de protéger les animaux, insectes oiseaux, batraciens etc... dans leur lieu de vie. Il existe des huttes à divers endroits afin de voir sans être vu. Si j'avais le temps je m'y installerais bein avec mon APN.

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  •  Dans le cadre de la communauté des Photographes du Dimanche de Poupinette, voici ma participation.

    TENIR LE COUP.



    Nous étions à Meursault en chambres d'Hotes, c'était il y a 3 ans en novembre 2006. Il nous fallait bien tout cela pour TENIR le COUP.

    TENIR LE CAP



    Nous sommes en 2008 en surplomb de l'Ardèche, l'important est de terni le cap pour n'être pas attiré par les rapides qui attirent les canoés.



    ouf !! ils sont passés.
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  • Ce matin, petites courses, puis ballade en bordure du Rhône et du canal de Rhône. il n'y avait pas un chat dans les lones.



    Coté nord, sur le pont du canal qui double le Rhone à partir de Pierre Bénite afin qu'il soit navigable en aval du barrage et cela jusqu'a Grigny.



    Un petit coup de téléobjectif et l'on voit le pont de Feyzin qui va sur l'ile de la chèvre, puis les cheminées et les citernes de la raffinerie de Feyzin.
    les immeubles derrière sont les Minguettes de Vénissieux. Ici nous sommes en zone "Sévézo".



    coté sud, on devine au centre les contrefort du Pilat, massif montagneux ou nous avons véçu 8 ans à Burdignes. Pas de chance, aucun bateau ne naviguait ce matin.



    Un petit croquis qui montre le début du canal en haut et le barrage en bas à droite.



    Coté sud, on voit davantage les montagnes du Pilat avec le zoom, et sur la droite, la colline derrière les arbres est la commune de Montagny. Le pont de Vernaison est l'un des derniers pont suspendu sur le Rhône.



    Vu du pont, en contrebas de magnifiques arbres qui jettent tous leurs feux, ombre du pont et de votre servante.
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  • Au 11ème siècle, alors qu'Oldoric est à la tête de la communauté l'église étant de nouveau devenue trop petite, on entreprend d'en construire  un nouvelle à la mesure de la fréquentation croissante.
    Le plan choisi, convient à une église de pelerinage, comme à Saint Martin de Tours, ou Saint Martial de Limoges



    La Basilique Saint Martin de Tours n'existe plus, négligée pendant le XVIIIème siècle, tombant en ruines, elle a été détruite au moment de la Révolution Francaise.

    Il permet  la coabitation de la vie monastique, de la vénération des reliques et du pélerinage. si la construction s'échelonne sur plusieurs décénies elle offre portant une relative homogénéité.
    L'abbé  Etienne II poursuit les travaux de son prédescesseur, et substitue comme matériau de construction le calcaire jaune au grés rouge.
    Bégon III  (14087 - 1107) commandite , outre les travaux des tribunes, la réalisation du cloître  et des batiments conventuels.



    C"est durant son abbatiat que l'on peut  situer le zénith de la prospérité  de l'abbaye marqué par l'installation d'ateliers d'orfèvrerie, d'enluminure, de scupture. Le village se développe avec ses commerces, ses auberges, ses ateliers et aussi ses amuseurs publics, ses vendeurs ambulants. Les habitants se comptent alors par miliers.



    Les travaux se termineront  sous  l'égide de Boniface  (1107 - 1125) avec notamment la façade ouest.




    la façade sud et le bassin en serpentine



    Le chevet et son élévation pyramidale à trois niveaux. 
    Cette harmonieuse élévation  est représentative dans bien des églises romanes.





    Le sanctuaire était surmonté  d'une coupole, aujourd'hui disparue et replacée a l'époque gothique par une voute a 8 nervures






    les vitraux sont de Pierre Soulage, ont été installés en 1995. cet artiste aveyronnais  travaille a ce projet depuis 1986. la commande est ambitieuse,  il s'agit de réaliser 95 verrières et 9 meurtrières couvrant plus de 260 m².

    on en voit d'alleurs quelques exemples sur les photos précédentes.



    L'ensemble des verrières répond a un schéma commun qui donne cohésion et harmonie visuelle à l'ensemble.  ils sont parfaitement assortis à l'architecture romane bien qu'étant construit  1000 ans plus tard.

    a suivre....
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  • Un jour, une rose.....
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  • Ce fut notre dernière ceuillette !! mais quelle ceuillette.



    Une poèlée de cèpes



    Robert se cachait derrière 2 cèpes



    Attention !!!! Amanite tue mouches, trés dangereux !!!!



    Laccaria améthystina ou clithocibe,


    Faux mousseron, ou marasmus oreades, comestible que l'on trouve dans les prés et même dans les pelouses urbaines.
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  • Un ermite, des invasions, un village niché à flanc de colline, un empereur, une vierge martyre, des reliques, un vol, un trésor, une abbaye, un pelerinage, un village.... en ces quelques mots se résume l'essentiel de Conques.



    Conques se situe en Rouergue sur les contreforts sud du Massif central en Aveyron, à la limite du Cantal.



    Aussi loin que remonte, sinon l'histoire du moins la légende, l'origine de Conques est scellée au seuil du 8ème siècle. Or les documents les plus anciens permettant  de retracer cette fondation datent seulement du début du 9 ème siècle.

     Le site est isolé dans un méandre de la vallée du Dourdou qui se jette dans le Lot.



    Alors que les sarazins sillonnent la vallée du Lot et de ses affluents, une petite communauté se réfugie sur le futur site de Conques. Mais ce groupe est attaqué par les arabes  et le lieu de culte est détruit.



    Un ermite Dadon, dont la famille a été décimée par les envahisseurs s'y installe, il est rejoint par d'autres. Dés 800, cette communauté forme un abbaye rapidement confortée par les faveurs de Louis le pieux, roi d'Aquitaine puis enpereur en 814. Ainsi la communauté relève directement de l'autorité du Pape.



    Sous l' Abbatiat d'Etienne 1er ( 942-984) l'édifice de Dadon et de Louis le Pieux devenant trop exigu, est remplacé par une nouvelle église. Cette dernière occupe la moitié de la surface dévolue à l'abbatiale actuelle.



    L'histoire des reliques de Foy

    Un moine conquois, du nom de d'Aronisde part pour Agen. Il se fait admettre dans la communauté Sainte Foy d'Agen. IL lui est confié la garde des reliques de la jeune martyre agenaise, Sainte Foy, martirisée à l'agede 12 ans pour sa foie chrétienne. Puis un jour de l'Epiphanie, aprés 10 ans  passés a gagner la confiance de la communauté, Aronisde profite d'un moment de solitude pour s'emaprer des reliques de la sainte. Il regagne ainsi Conques avec son précieux chargement, le 14 janvier 866.
    L'enthousiasme des fidéles pour les nouvelles reliques ne se fait pas attendre. Miracles et facéties ne tardent pas a être connus a travers la Chrétienté.



    Ainsi commence la vraie histoire de Conques.

    A suivre.....

    Durant nos vacances en Aout 2009, nous avons poussé jusqu'a Conques non pour un pelerinage car je suis athée, mais pour revoir plus en détail cette magnifique abbatiale.

    Bibliographie : Emmanuelle Jeannin et Henri Gaud
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  • Je devrais dire, c'est la semaine blanche, car on commence ce lundi par une gelée blanche, mais elle n'a même pas "grillé" mes dalhias. c'est pas l'été indien, c'est l'hiver groland. Ben il faut bien que la saison se passe donc je m'habille en bleu,



    on pourrait croire que c'est blanc, mais non c'est légèrement bleuté



    je ne saurais vous dire ce que c'est ?



    Un prunelier sur le bord du chemin



    on appelait cela des "plosses" et il fallait attendre qu'il ai gelé pour les ramasser. je me souviens que c'était trés acide.



    un de mes dernier aster planté recemment, il est tout petit, mais il deviendra grand.



    voici de nouveau l'aster bleuté dans son parfait fleurissement.
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  • En octobre, de partout en France, on organise la semaine nationale des retraités et personnes agées. Ici a Irigny le CCAS nous prpose une aprés midi gaie et festive mercredi prochain.
    Mais il n'y a pas que la fête qui soit importante pour les personnes agées, il y a malheureusement des maladies et parmi ces maladies, la Malaie de Parkinson qui touche bon nombre de personnes même trés jeunes.
    Donc Jeudi 15 octobre, j'étais invitée à une table ronde sur la MP à Montargis par mon amie Suzanne Moutin dite Suzon, qui oeuvre beaucoup pour les défavorisés et les malades, son association ASSOPARK réuni une cinquantaine de personne, malades ou aidants et c'était pour parler de la ma "qualité" d'aidant que j'étais venue dans sa commune Chalette dans le Loiret.
    Tout d'abord, nous écoutions Annick Tournier atteinte de la MP depuis 9 ans qui nous parlait de sa vie de PCP (*) et du livre qu'elle a écrit " Corps à corps avec Parkinson" éditions "Les empêcheurs de penser en rond".
    Annick Tournier raconte avec beaucoup de sensibilité la vie quotidienne, les relations avec les médecins, le kiné, le réapprentissage des actes de tous les jours qu'impose la progression inéluctable de la maladie . Car a défaut de guérir, il faut jouer la montre ! Comment ne pas perdre son identité quand on perd son autonomie ? comment apprendre a cohabiter avec un double en cours de destruction  ?
    Cette femme admirable tant elle repousse la maladie et qui préfère passer pour une niaise, plutot que d'une malade. Comme elle nous le racontait lors d'un stage de cuisine ou elle avait des difficultés à touiller ou mettre le couvert. Cette femme qui a refusé dés le départ de prendre de la lévodopa et qui se soigne de façon diffférente au grand dam de son neurologue. J'ai été époutoufflée par tant de volonté.
    Et puis j'ai parlé de ma vie d'aidante, pas toujours facile, du mur qui s'était dressé devant moi et qui m'interdisait de faire des projets à long terme. De mes envies de sortir de ce carcan  que je ne puis quitter. De la souffrance de Robert, de son refus que je fasse ce voyage, de la maladie qui le rendait un peu plus dépendant et sa manque de punch, lui qui était un battant et qui se laisse bouffer par la MP chaque jour un peu plus.
    J'ai aussi parlé de ma peinture, de mon jardin et de mon blog qui me permettent de m'évader et qui sont ma thérapie.

    Nous avons écouté aussi un représentante du PIF Point information famille qui a pour but d'orienter les familles dans les différentes ONG suivant le problème à traiter.

    (*) Personne avec parkinson

    Puis, j'ai repris mon train en gare de Montargis, mais mes aventures ne sont pas encore terminées.
    attendez la suite......au prochain article.

    Si vous désirez vous remémorer mes aventures avec la SNCF retour vers cet article.



    L'AVENTURE, C'EST L'AVENTURE
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  • Jeudi, je me suis offert un festival de gare, bon ! ce n'était pas la gare de Perpignan, qui, comme le disait DALI, était la 8ème merveille du monde, mais entre la gare de la Part Dieu à Lyon et la gare de Lyon à Paris, j'ai eu largement le temps de les visiter.
    Donc le matin départ 7 heures, compte tenu que d'habitude je mets 35 minutes pour me retrouver au coeur de Lyon, je me disais que cela suffisait pour prendre mon TGV à 8 heures.
    Erreur, grossière erreur !!!! j'avais oublié que c'était l'heure de pointe, que les TCL étaient en grève et que cela bouchonnait partout, partout !!!!!
    Résultat arrivée en gare à 8 heures 08, le train était parti, cela commençait bien.



    Je ne sais pas si le ciel me le rendra, mais je commençais une drôle de journée.
    prochain TGV a 10 heures, celui de 9 heures étant annulé à cause de l'incendie d'une armoire électrique située vers Alfortville.
    Donc visitons, visitons cette chère gare de la Part dieu.



    On attend, debout, assis......



    On regarde le panneau et on attend que notre train soit annoncé avec le quai s'y afférent.



    Un pain au chocolat et un double expresso, afin de prendre des forces et essayer de passer les presque deux heures qui me reste a attendre le prochain TGV.



    Visitons, visitons, le nez en l'air et l'atrium de la gare.



    L'extérieur et la pendule !!



    J'ai même découvert des transports à la personne avec de belles motos. Taxi d'un autre genre, qui existait aussi à la gare de Lyon, pour cadres pressés

    Finalement j'ai pris mon TGV à 10 heures, j'avais également retardé ma correspondance pour Montargis. Je pensais pouvoir, entre les deux trains, aller faire un tour à Paname au moins pour voir la Seine, mais les ennuis ne faisaient que commencer.



    Pas facile de photographier la campagne en grande vitesse.
    Arrivée Gare de Lyon avec 35 minutes de retard, pas de ballade jusqu'à la Seine. Je m'achète un sandwitch et une bouteille d'eau et visite le coin.



    Je me souvenais de la sortie de la gare de lyon en 1974, il n'y avait pas cette grande place devant, les temps changent, heureusement.



    Gare de Lyon coté des trains au départ



    Et coté des voyageurs qui attendent comme à Lyon qu'on leur indique le quai de départ  de leur train.

    J'ai pris ma correspondance pour Montargis dans le Loiret, et j'ai appris que nous étions dans un de ces fameux trains de banlieue qui déservent la capitale , la banlieue parisienne va trés loin, Montargis étant à 120 km de Paris....
    Moi, petite campagnarde lyonnaise, j'étais loin de penser cela.
    Je suis arrivée à Montargis vers 14 heures 45, pas trop en retard pour la table ronde à laquelle je devais participer dans le cadre de la semaine bleue.
    Mais cela fera partie d'un autre article.
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  • Du bleu ! mais pas de fleurs bleues


     Nous sommes en Zone Naturelle, ce qu'on nommait avant Rone  agricole. dans les champs des cultures de légumes.
    Irigny a toujours été, l'un des garde manger de Lyon.



    des champs de poireaux et des salades.



    Ce sont, a n'en pas douter, des bleus de Solaize.



    Solaize , qui est un commune située de l'autre coté du Rhône, est connue mondialement par sa variété de poireaux.



    Autre légume trés apprécié des lyonnais, le Cardon. ils vont etre bientot paillé pour attendre la noel.



    Ces belles feuilles bleues ne se mangent pas. j'adore cette couleur, et j'adore aussi les cardons à la moelle que je réussis trés bien.



    Une oubliée, pas touche !!



    Ici les légumes poussent partout même sur les talus des route, ici les curcubitacées sont encore en fleur.

    ***************************

    A cause de notre bel été indien, mon lilas bourgeonne, mais avec cet air plus que frisquet, les bourgeons vont vite souffrir.
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  • Dimanche, comme l'homme ne voulait pas se lever, j'ai pris le mors aux dents, et je suis partie APN en bandouillère, marcher dans ma campagne qui n'est qu'à 500 m de la maison
    je partais en terrain inconnu, mais mon excellent sens de l'orientation me garantissait de retrouver ma maison.



    l'automne se montre de toutes parts, voici des baies pour nourrir les oiseaux l'hiver.



    on a le choix les rouges au gout de cerise, les jaunes au gout de citron.



    on dirait des petites pommes golden.



    là des reines des reinettes. non ! ce ne sont pas des grenouilles.



    Là je me trouve à la croisées des chemins. Il me faut choisir.....



    Prenons ce petit chemin qui ne sent pas la noisette, mais la chataigne. Pas tout le même jour ce serait trop. a suivre.... vous en verrez de toutes les couleurs.
    je suis revenue au bout d'une heure, complètement ressourcée.

    .....
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